| Dernières réponses | |  Geff30 a écrit :
Oui venez j'y suis aussi  enfin moi je suis plus du côté du bar  |
Etrange que nous ne nous soyons jamais croisés alors  |
| | | superbes photos !! |
| | Tu as raison, je suis très mal élevée, je paierai la première  Par contre pour la pratique, c'est plus compliqué  , car les manadiers ne veulent pas des novices, qui 'nont jamais vu de taureaux, ni eux, ni leur monture, à cause des accidents et de la dangerosité de l'activité que nous pratiquons. Il nous est d'ailleurs demandé, chaque année notre licence et notre couverture d'assurance !! Il y a eu malheureusement trop d'accidents !!!! |
| | ah ouais, chez vous c'est les etrangers qui lancent les festivités?
en fait pour l'autre côté du bar je voyais plus ça à cheval  |
| | Je suis du même côté que toi, Geff30, au bar  , et Mokiane, si tu paies la première tournée, pas de problème, tu sera bienvenu !! |
| | euh... comme je suis du genre à répondre aux invitations (vé c'est mon côté sans-gêne...) euh tu peux dire s'il y a moyen de pratiquer avec vous? (des deux côtés du bar  ) |
| | | Oui venez j'y suis aussi enfin moi je suis plus du côté du bar |
| | Je vois que j'ai des aficionados (passionnés) de ma culture equestre et taurine, tant mieux  !!!! Il faut venir en vacances dans le midi de la France dans les villages en fêtes, en été, pour voir nos activités de traditions, je serai ravie de vous y connaitre   |
| | | magnifiques photos! j'adorerais découvrir ces "pratiques" |
| | Non, pas de chiens dans la tradition Camargue, rien que des chevaux ! Dans le vieux temps, lorsque les camions appellés "chars", n'existaient pas, les gardians conduisaient les taureaux au village qui organisait une course avec des raseteurs, de cette façon, les bêtes menées par les chevaux. Ce périple pouvait parfois durer deux ou trois jours, selon la distance du village organisateur; Dès lors, les gardians se reposaient à tour de rôle et les autres gardaient le bétail, à bâtons plantés, comme on disait, dans les herbages de tel ou tel fermier du coin qui se réjouissait de nourrir des taureaux de course !!! On appellait cela "l'abrivado", qui signifiait "arriveé" en occitan, puis, à la fin de la course, ils faisaient le chemin en sens inverse, ramenant les taureaux sur leurs terres, on disait alors "bandido", du verbe "bandir" en occitan qui veut dire "lacher ou rendre la liberté" au bétail ! De nos jours, sur un parcours sécurisé pour les gens, on reproduit le travail des gardians de l'époque, mais évidemment, on sort d'un char, et on enferme dans un autre char ! Le goudron est bien souvent très glissant, ce qui complique largement notre prestation, mais la passion nous animme, et là, plus rien ne nous arrête !! Tu vois, je t'avais dit que j'étais intarrissable !!  |
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